promotion de la citoyenneté ».
Contexte :
Cette dynamique fait suite au PCM 2, lors duquel le pôle thématique éducation / animation avait travaillé à analyser les causes de la déperdition scolaire et à faire quelques propositions dans le secteur de l’animation socioculturelle. Les résultats avaient été trop parcellaires et l’implication des associations dans le pôle n’avait pas permis de faire ressortir des lignes de force assez convaincantes pour pouvoir servir de base à un plaidoyer efficace et une influence sur les politiques publiques.
Quelques associations qui étaient présentes lors du PCM 2 ont souhaité aller plus loin. C’est pourquoi, lors de l’assemblée générale de lancement du PCM3, elles ont fait des propositions de réorganisation pour le pôle.
Il a été notamment décidé de limiter le périmètre du pôle, de se centrer sur un seul thème et de diversifier l’engagement des associations entre des implications locales, régionales et nationales. Les grandes lignes du PCM3 ont également permis de repréciser les objectifs, les activités et les outils du pôle.
Résumé :
Lieu(x) Tout le Maroc
Durée du projet 24 mois
Objectifs du projet Objectif (s) global (aux) :
L’animation socio culturelle est reconnue, par les autorités marocaines, comme un moyen efficace et durable pour lutter contre les déperditions scolaires et promouvoir la citoyenneté par et pour les jeunes.
Cet objectif sera atteint par la mise en place d’expérimentations sur des actions de terrain autour de thématiques différentes et ciblées, mais toujours en lien avec l’animation socioculturelle
Objectifs spécifiques :
A la fin de l’action, le pôle EA souhaite avoir mené 8 expérimentations sur 8 lieux différents (2 en France et 6 au Maroc). Celles-ci feront l’objet d’une analyse, d’une capitalisation et d’un échange entre les porteurs d’expérimentations.
1. Analyser la place et l’implication des jeunes dans l’animation socioculturelle
2. Analyser l’apport de l’animation socioculturelle pour les jeunes, au sein de l’école, de la famille, de la société en générale
3. Elaborer une stratégie de plaidoyer commune adaptée pour la reconnaissance de l’apport de l’animation socioculturelle sur la jeunesse, auprès des institutions publiques locales et nationales concernées.
Nom du demandeur Association Tagadirt
Nom des associations partenaires membres du PCM Ahlan, Taroudant - Al Mawahib, Casablanca - Amal Dades, Ouarzazate - Amalou, Tata - Amuddu, Taroudant - Assalam, Youssoufia - Chouala, Casablanca - AGEF, Oujda - Femmes, Eau et Environnement, Sale - Likaa, Safi - ALCS, Casablanca - AMARDEV, Casablanca - AMEJ, Sale - Mouvement Tofola Chaabia, Rabat - Twiza, Khemisset - Tagadirt, Tata - Tamount, Tata - Tiwizi, tata - Zraig, Guenfouda - FOL, Casablanca - FMALL, Marrakech - Handicap International, Rabat - Les Petits Débrouillards, Rabat - UMAC, Rabat
Partenaire (s) (collectivités / services déconcentrés de l’Etat) Le ministère de l’Education Nationale
Le ministère de la Jeunesse et des Sports
Le ministère du Développement Social
L’Entraide Nationale
…..
Organisations françaises CEMEA, Paris - Cool’eurs du monde, Bordeaux - Fédération nationale des Francas, Paris – GREF, Paris - La Ligue de l’enseignement, Paris
Acteurs cibles du projet Les associations et les jeunes impliquées dans l’animation socioculturelle
Les institutions publiques locales et nationales concernées par l’animation socioculturelle.
Résultats escomptés Les impacts et résultats présentés sont en complément des objectifs spécifiques et s’appuient sur huit les expérimentations territoriales. Ils ne sont pas inscrits dans un ordre d’importance.
Les politiques sur les clubs scolaires sont efficacement appliquées. (L’idée est notamment de lister les éléments facilitateurs pour que les clubs scolaires agissent contre les déperditions scolaires).
La place des jeunes en tant qu’acteurs est renforcée dans les chantiers.
Les collectivités locales, services étatiques, écoles, universités… sont associés aux différentes expérimentations
Les responsables politiques et acteurs locaux sont sensibilisés sur l’animation socioculturelle et souhaitent s’y investir
Les établissements ouverts sur l’environnement sont identifiés et associés.
L’expérience des internats scolaires pour les primaires impliquant des jeunes est modélisé et transposable
La place des jeunes en tant qu’acteurs est renforcée dans les associations et les coordinations d’associations.
Des espaces de ressources sur l’animation socioculturelle sont crées
La formation des jeunes dans différentes activités : animation des clubs, animation des chantiers, soutien scolaire, éducation à l’environnement, formation par les pairs est améliorée
NB : Trois points transversaux sont inscrits dans les expérimentations : le handicap, le respect de l’environnement et l’approche genre.
Principales activités ANNEE 1 : mai 2011 (lancement des expérimentations) – mai 2012
SEMINAIRE N°1 (8 et 9 octobre 2011), organisé par TWIZA (Khémisset)
Faire le point sur l’avancement des expérimentations et présenter une ou deux actions sur place, pouvant rentrer dans le champ du pôle.
SEMINAIRE N°2 (janvier 2012), (le porteur du séminaire sera à trouver lors du S1)
Analyse des expérimentations et définition des axes de plaidoyer à destination des pouvoirs publics (éducation nationale, jeunesse et sports, entraide nationale,…) et des collectivités territoriales et locales / selon avancement
SEMINAIRE N°3 (mai 2012) (le porteur du séminaire sera déterminé après le S2)
Capitalisation des expérimentations
La reproduction du modèle de l’année 1 sera reconduit pour l’année 2, sous réserve de vérifier l’efficience lors du séminaire de capitalisation de mai 2012. Si le projet est le même, les séminaires 2 et 3 serviront pour la construction du plaidoyer et le mode d’emploi pour le rendre efficace.
JUIN 2013 communication et diffusion du plaidoyer dans une manifestation publique